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les chroniques d'arpanos

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Message  thibaud Mar 10 Jan à 20:16

Chronique d’arpanos

L’amour, étrange chose que l’amour, qui bien manipuler, peut changer bien plus qu’une vie.


*

C’était un matin,je crois,car mes souvenirs décline, que je fus emmener jusqu'à une pièce,la même que je redouterais bien plus tard, mais je ne le savais pas encore. il y’avait un garde,vêtus de la même façon que celui qui me tenait brutalement le bras,c'est-à-dire d’une culotte courte,bien sobre,surmonter par une armure d’un argent éteint,et défigurer par des bosses qui trahissaient des combats certains. Sa tête, bien qu’on n’en voyait que les yeux perçants, était revêtue d’un casque simple mais à priori résistant , et était penchée d’un air interrogateur.
-C’est le gamin ? demanda t’il d’une voie éteinte, mais empreinte de dégoût
-oui ; sais-tu si maître Daco est là ? Avait répondu celui qui me tenait avec une main suante mais ferme.
-Bien sûr ! Il ne sort que pour regarder les astres quand il ne voit que des nuages de sa fenêtre, et par ce temps ensoleillé, cela m’étonnerait que la vue soit ombragée.
Se rendant compte qu’il n’était pas à la salle des gardes, mais en poste. Il s’arrêta de parler, ouvrit la porte en bois massif, incrustée de boniments sombres, et nous indiqua d’entrer.
Je n’oublierais jamais ce que je vis :
Un homme, le visage pâle, en jupe blanche tenue avec une ceinture en cordage de la même blancheur, était debout, et ses mains formaient un arc de cercle, qui laissait échapper une lueur bleuâtre. Ce qui suivit était encore plus extraordinaire.
Cette lueur gagnant en puissance, prit son envole et s’éleva des mains du curieux personnage.
Et alors, il prit forme. Je distinguais d’abord Une parie d’ailes, en écailles bleuté, puis sur le corps encore cylindrique se formait une tête,deux pairs de pattes, terminer par des griffes qui, à l’instar du reste, dont se dégageait un bleu profond, prirent la couleur de l’ombre : le noir .
A l’autre extrémité, le corps se terminait en pointe, c’était une queue. A l’époque je ne savais pas comment appeler cette créature, je n’avais alors que six ans, et on ne m’avait pas encore éduqué. Maintenant je peux affirmer que c’était un dragon. Et, bien que miniature, il était impressionnant avec ses écailles bleues rutilantes, à tel point que j’y voyais presque mon reflet. Je n’eus plus le temps de distinguer quoi que se soit d’autre sur la créature, car elle disparut. En effet, l’homme qui la tenait fut surpris par notre arrivée, et leva la tête avec précipitation, si bien que ses mains se défirent, et le dragon disparut sans rien laisser qui aurait pu trahir qu’il avait été la. On aurait dit qu’il n’avait jamais existé. Toute mon attention se recentra alors sur le personnage tout de blanc vêtu, qui me regardait tristement :
-« Que ne puis-je réparer ces erreur, dit-il d’une voie triste et sifflante, trahissant sa vieillesse ; je voudrais que tu me pardonnes, je t’ai abandonné à la misère, tu a vécu comme un mendiant, et le mot et faible, mais tout cela va changer, je te le promets ! »
Je me rappelais en effet que j’étais vêtu de haillons crasseux, que mes cheveux, en désordre, étaient bien plus sales que mes vêtements, tellement sales que mes poux sautaient de joie, et je puais tellement que mon nez était bouché. Je compris alors pourquoi le garde avait eu la voie emprunte de dégoût quand il m’avait vu pour la première fois.
Ainsi, pour revenir au pressent, cet homme me connaissait, et comme s’il lisait dans mes pensées, il ajouta :
-Excuse-moi, tu ne te rappelles sûrement plus de moi, je m’appelle Daco, et je suis ton oncle. Puis, de mon silence, il en déduisit que je ne comprenais pas tout ce qu’il disait. Il demanda alors aux gardes de m’emmener dans mes nouveaux appartement, et de me faire prendre un bain ; sans toutefois arrêter de me présenter ses excuses.

*


Je m’affalais dans mon lit, et bien que je fusse fatigué, je me mis à penser à cette journée bizarre. Bien que ce soit mes premiers souvenirs, je m’en rappelle sans difficulté. Je pensais à cet homme bizarre qui avait fait apparaître une créature bizarre quia disparue bizarrement : un début plus que bizarre ! Ensuite, après m’être toiletté, on m’avait emmené voir une femme qui, malgré son grand age, s’est empressée de prendre mes coutures, puis de me donner des vêtements propres. Ensuite, habillé, lavé et parfumé, on m’a emmené dans une pièce baignée dans la lumière, et emplie d’une forte odeur d’orchidées. Une femme s’est retournée, son visage, bien modelé et sans traces de rides, se mit à fondre en larmes. Elle se précipita vers moi dans un frou-frou de jupe, et me serra contre son cœur. Quand elle me lâcha, je repris mon souffle et restais muet. Puis une cloche sonna, et on m’emmena dans une grande salle emplit de monde : la salle des repas. Mais ce n’était pas ma destination final, car les gardes m’emmenèrent plus loin, dans une plus petite pièce où régnait des odeurs exquise, j’en déduisit donc, a l’aide de ces odeurs et des dizaines de cuisiniers, distinguer par leur robe blanche, s’afférant ici et là, que c’était la cuisine. Une fois arrivé, on me mit a table et on me servit du gruau, et des mit de pain, accompagner d’un pichet d’eau, et je déjeuna sans grande appétit.
Le jeune garçon que j’étais était fatigué, et au lieu de continuer à se remémorer sa journée, il s’endormit.

thibaud
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Message  thibaud Jeu 16 Fév à 17:16

G deja ecrit la suite(environ 20 page),mais comme G la flemme de tt recopier vive la glandouille! , je risaur pa decrire la suite,mai jediterai petetre un jours

thibaud
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Message  Fou-Lu Sam 18 Mar à 21:15

Tu m'ettones que ça doit pas être facile de tout recopier! C'est l'avantage de tout taper sur l'ordi! On moins on copie-colle^^
Menfin sinon j'ai lu et c'est intriguant^^

Fou-Lu
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Message  thibaud Mar 29 Aoû à 13:05

merci Smile

thibaud
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